OCTOBRE 2021

Liste des groupes :
Groupe "Ville citoyenne et solidaire"
Groupe "Nouvelle Dynamique pour Champs"
Groupe "Champs à venir"
Groupe "Réinventons Champs Ensemble"

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Groupe "Ville citoyenne et solidaire"

Stop à la suppression des jours de congés dans la fonction publique, exigeons l’abrogation de la loi de 2019 !

Alors que les fonctionnaires territoriaux ont été largement mobilisés pendant la pandémie, le dernier acte de la loi de transformation de la fonction publique, qui vise à augmenter de façon injustifiée leur temps de travail, sonne comme une provocation de plus !

De nombreux élus locaux, des syndicats, témoins de cet engagement des agents, s'opposent depuis plusieurs semaines à l'application de cette loi.

L’article 47 impose aux collectivités une harmonisation du temps de travail dans la fonction publique territoriale, en supprimant les régimes dérogatoires (journée du maire, journées acquises en fonction de l’ancienneté...).

Conséquence pour les agents : une perte de jours de congés ou de jours de récupération ! Une perte particulièrement douloureuse pour les agents de catégories B ou C, aux traitements encore souvent modestes. En outre, les autorisations spéciales d'absence, par exemple pour s'occuper d'un enfant malade, sont restreintes.

Tout au long de la pandémie, les fonctionnaires n’ont ni ménagé leurs efforts, ni compté leurs heures pour que les services publics continuent d’assurer leur mission d’intérêt général. Auprès des personnes âgées, de nos enfants, dans l’accueil du public, ils et elles ont été essentiels ! C’est indécent de rogner maintenant sur les droits des agents !

En s'attaquant plus particulièrement aux droits des agents territoriaux, le gouvernement vise également à diviser les fonctionnaires entre eux. Enfin, sous prétexte d'harmonisation, cette loi constitue une nouvelle attaque contre l'autonomie des collectivités territoriales.


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Groupe "Nouvelle Dynamique pour Champs"

TEXTE NON PARVENU

 


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Groupe "Champs à venir"

Santé et prévention : la ville doit jouer un rôle actif

Les actions de prévention sur la santé sont particulièrement importantes car elles permettent en amont de combattre la survenue des maladies et de certains troubles. Qui dit prévention dit actions ciblées en fonction des maladies et des populations.

Oui la compétence est intercommunale. Mais la commune devrait aller plus loin parce qu’elle est le niveau de référence pour les habitants, parce qu’elle connaît les populations cibles des campagnes de prévention. Aussi regrettons-nous que les actions d’octobre rose (pour inciter au dépistage du cancer du sein et sortir du tabou), menées tambour battant par certaines associations ou certains établissements scolaires, n’aient pas été relayées.

Etre une ville entreprenante sur la santé, c’est aussi travailler sur la prévention des addictions (cigarette, alcool, drogue…) directement auprès des publics et avec les professionnels de la santé : sortie des collèges, avec les entreprises…

C’est s’impliquer sur le plan de prévention du bruit pour limiter les nuisances sonores importantes sur certaines parties du territoire et pouvant affecter non seulement le bien-être mais aussi la santé des habitants (par exemple le long de la VPN).

La prévention c’est aussi structurer un réseau d’acteurs sur la santé mentale. Peu de gens savent que nous accueillons notamment un centre médico psycho pédagogique. Et de toute façon l’enjeu est déterminant quel que soit l’âge : il faut donc agir.

Pour nous la santé doit être une priorité au même titre que le logement, la tranquillité publique, l’accès aux services publics locaux (crèches, péri-scolaire…).

Julie Gobert, Sébastien Maumont, Emilie Le Faucheux


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"Groupe Réinventons Champs Ensemble

Mais où est la cohésion sociale à Champs-sur-Marne ?

Il y a 25 ans, Madame TALLET a pris les rênes de la ville en tant que 1er magistrat. Depuis 25 ans, Madame le Maire et sa majorité font de la cohésion sociale leur priorité. Depuis 25 ans, Madame le Maire et sa majorité dépensent les deniers publics dans cet objectif. Cela se traduit par des petites actions très locales coûteuses et inefficaces. Des subventions colossales sont données aux 2 associations principales (Centre Culturel Georges Brassens et Centre Social Victor Jara) dans cet objectif et sans aucun résultat pour la cohésion sociale. Force est de constater que Champs-sur-Marne est géographiquement divisé. Notre ville, au fil des ans, est devenue une somme de nombreux quartiers séparés sans liens entre eux, où la mixité sociale, fondation de la cohésion sociale, n’existe pas. Ceci est le résultat d’une politique clientéliste où l’objectif n’est pas de faire grandir la ville, mais de se faire réélire en s’assurant d’offrir tous les cadeaux nécessaires à sa clientèle avec l’argent de la commune. Les solutions à mettre en œuvre pour assurer une cohésion sociale doivent être pensées au niveau de la ville et non au niveau de l’individu. La cohésion sociale doit être pensée avec une véritable politique de mixité sociale, en s’assurant de l’existence de liens entre les quartiers. La cohésion sociale s’obtient en ayant une politique dont l’objectif est de gommer, autant que faire se peut, les différences sociales. Des solutions existent. Il faut seulement les mettre en œuvre sans aucune ambition électoraliste, mais seulement avec l’ambition du résultat et de l’efficacité.

Michel COLAS et toute son équipe.
Internet : www.reinventons-champs-ensemble.fr
Facebook : Réinventons Champs Ensemble.

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